Si dans la majorité des cas, les pleurs du bébé correspondent à un « besoin » vital comme celui d’être nourri, très rapidement, il va également pouvoir exprimer ses « envies », ses préférences ou ses refus.
Envie des bras, de la tétine, d’un bercement, préférence pour s’endormir sur le canapé du salon au milieu de tout le monde, refus de son lit. L’enfant cherche à retrouver le plaisir qu’il a reçu.
Bébé est un petit futé qui apprend très vite à pleurer pour obtenir ce qu’il veut… et dès que l’enfant reçoit ce qu’il réclame, les pleurs cesseront.
Pour le bébé, le déplaisir n’existe pas, il est refusé, point final.
Arrêtons de lui procurer un plaisir et nous le verrons très vite le réclamer, alors attention, donc, aux gestes répétitifs que vous allez lui prodiguer, ne dites pas : « Il a pris de mauvaises habitudes », car il a pris, et ne réclamera, que ce qu’il a reçu.
Sachez que si vous voulez, après réflexion, faire marche arrière et supprimer un plaisir qui était devenu « votre habitude », il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de gencives.
